"On Connaît Enfin Le Menu Des Neuf Enfers : Des Nems"
En ce moment, on ne peut pas louper la grande fête de l'hiver : les soldes. Oui et pis aussi les jeux zolympiques. A la télé ils sont à fond, n'importe quel français devient médaillable, bien que la plupart flottent entre la 20ème et la 30ème place. Et le peu d'athlètes qui ne sont pas présentis finissent finalement par avoir une médaille d'or. Dans le cul l'expertise sportive.
Mais, à la télé, il y en a un qui n'est là que pour l'envolée lyrique. C'est le mythique Nelson Monfort. On le sait, Nelson est à l'envolée lyrique ce qu'est la pissotière à la soirée bière : tôt ou tard on y a droit. Et là où il est très fort, c'est quand il s'agit d'affubler les concurrents de sobriquets en rapport avec leur pays d'origine. Et notre ami Nelson a comme, comment dirais-je, une forte tendance européanocentriste. En effet avec les européens, il est plutôt soft. Les hollandais sont gentilement traités de bataves, les scandinaves de vikings, les allemands de teutons et c'est tout afin de ne pas basculer dans la IIIème guerre mondiale.
Après, quand on s'éloigne vers l'Asie, çà se gâte. Quand il parle des Mongols, c'est forcémment en analogie avec Genghis Khan ou Tamerlan. Bon les Mongols n'ont peut être pas inventé l'eau chaude, mais là ils regrettent amèrement de ne pas avoir tenté quelque chose avec l'eau tiède. D'après Nelson c'est presque des barbares assoifés de sang, ils font deux trois tours de patinoire pour rire et après ils sortent le sabre et ils massacrent les spectateurs en rigolant grassement.
Puis viennent les coréens et les japonais, même combat. Alors eux, c'est le Diable. Avec un grand "D", pour lui ils doivent représenter le mal absolu. Ce sont donc des "diables", ils sont "diaboliques", ils patinent "diablement", enfin bref, si on va à Tokyo ou à Séoul, on va forcément tomber sur le Cerbère ou Orphée en train de revenir avec son banjo sous le bras
Mais bon je sais pas d'où il tire cette image des asiatiques, sans doute il a été obligé de boire du saké quand il était petit et il a été choqué par le petit verre avec la femme à poil au fond ... ou alors il s'est fait racketé par une bande de teenage mutant hero turtles ninja quand il était au collège, et ils lui ont piqué son dictionnaire dédicacé par Bernard Pivot et Maître Capello. Le pauvre.
Mais, à la télé, il y en a un qui n'est là que pour l'envolée lyrique. C'est le mythique Nelson Monfort. On le sait, Nelson est à l'envolée lyrique ce qu'est la pissotière à la soirée bière : tôt ou tard on y a droit. Et là où il est très fort, c'est quand il s'agit d'affubler les concurrents de sobriquets en rapport avec leur pays d'origine. Et notre ami Nelson a comme, comment dirais-je, une forte tendance européanocentriste. En effet avec les européens, il est plutôt soft. Les hollandais sont gentilement traités de bataves, les scandinaves de vikings, les allemands de teutons et c'est tout afin de ne pas basculer dans la IIIème guerre mondiale.
Après, quand on s'éloigne vers l'Asie, çà se gâte. Quand il parle des Mongols, c'est forcémment en analogie avec Genghis Khan ou Tamerlan. Bon les Mongols n'ont peut être pas inventé l'eau chaude, mais là ils regrettent amèrement de ne pas avoir tenté quelque chose avec l'eau tiède. D'après Nelson c'est presque des barbares assoifés de sang, ils font deux trois tours de patinoire pour rire et après ils sortent le sabre et ils massacrent les spectateurs en rigolant grassement.
Puis viennent les coréens et les japonais, même combat. Alors eux, c'est le Diable. Avec un grand "D", pour lui ils doivent représenter le mal absolu. Ce sont donc des "diables", ils sont "diaboliques", ils patinent "diablement", enfin bref, si on va à Tokyo ou à Séoul, on va forcément tomber sur le Cerbère ou Orphée en train de revenir avec son banjo sous le bras
- "Et Orphée derrière toi fais gaffe !"
- "Ou çà ???"
- "Dans ton cul !"
- "3615 Eurydice mon amour ... sale con j'vais te crever et j'vais inventer le rap !"
Mais bon je sais pas d'où il tire cette image des asiatiques, sans doute il a été obligé de boire du saké quand il était petit et il a été choqué par le petit verre avec la femme à poil au fond ... ou alors il s'est fait racketé par une bande de teenage mutant hero turtles ninja quand il était au collège, et ils lui ont piqué son dictionnaire dédicacé par Bernard Pivot et Maître Capello. Le pauvre.